booster
Modérateurs : Patrice, Arnaud Guyon, Philippe Cousyn, Tibrus
booster
Ce que tu dis est vrai pour le continu pur. Cependant, actuellement, bien peu de transfo dits "continu" délivrent vraiment du continu ! Les moins chers délivrent du redressé 1/2 alternance, qui fait comme une pulsation, la gamme moyenne du double alternance, assez près du redressé mais pas complétement et les plus sophistiqués (fleischmann par exemple) du courant pulsé aux basses vitesses, exactement comme le décodeur. La seule différence (de taille, je te l'accorde) c'est la fréquence de pulsation qui est beaucoup plus élevée dans les décodeurs modernes.
Le vrai progrès, c'est la compensation de charge que certains avaient intégré dans des alim sophistiquées avant l'avénement du numérique.
Le vrai progrès, c'est la compensation de charge que certains avaient intégré dans des alim sophistiquées avant l'avénement du numérique.
booster
Je ne considère que la tension circulant dans le rotor et qui génère une force . Cette force c'est celle qui fait tourner le rotor . Cette force dépend uniquement de deux facteurs : la forme du rotor et la tension en volts . La plupart des transfo analogique comportent bien un variateur de tension . En modifiant la tension , on modifie la valeur de cette force En analogique tension faible = force faible - tension élevée = force élevée . Hors en digital cette tension est CONSTANTE et se situe bien aux alentours des 18/20 Volts donc la force appliquée a une valeur constante et élevée ( en rapport avec les 18/20V d ela tension ). Au démarrage on applique moins longtemps une force plus élevée . Même avec ces "tranformateurs modernes" je ne pense pas qu'à basse vitesse la tension soit de 18 -22 Volts...si j'en crois des valeurs moyennes publiées ici et là. Quelle est la tension relevée dans les rails , valeur exacte des pics , si pics il y a, etc..?
Par contre avec les alimentations spéciales type onduleurs MLI.... ben oui puisque c'est le même principe d'alimentation qu'en numérique . Je ne connais par contre pas les valeurs de tensions infligées aux moteurs au démarrage et circulant dans les rails..ni les fréquences ss lesquels travaillent ces régulateurs..( mesurées sur le srails il ne me semble pas avoir lu des tensions aussi élevées qu'en numérique mais bon..)
Par contre avec les alimentations spéciales type onduleurs MLI.... ben oui puisque c'est le même principe d'alimentation qu'en numérique . Je ne connais par contre pas les valeurs de tensions infligées aux moteurs au démarrage et circulant dans les rails..ni les fréquences ss lesquels travaillent ces régulateurs..( mesurées sur le srails il ne me semble pas avoir lu des tensions aussi élevées qu'en numérique mais bon..)
booster
Bien sûr !! Mais ça n'a pas de rapport direct avec la nature du courant parvenant au moteur de la machine !
Pour en revenir à la tension des pics de courant, certaines centrale numérique, plus sophistiquées (plus universelles) que d'autres, permettent le réglage de la tension. Par exemple LZV100 de LENZ (réglage de 8 à 18 volts).
Pour en revenir à la tension des pics de courant, certaines centrale numérique, plus sophistiquées (plus universelles) que d'autres, permettent le réglage de la tension. Par exemple LZV100 de LENZ (réglage de 8 à 18 volts).
booster
Concernant ces alimentations "spéciales " dites "à courant pulsé" ou "hacheur / onduleurs en tout genre" qui sont uniquement destinées à faire fonctionner des loco analogiques , Je demandais quelles sont les valeurs des tensions infligées au moteur ( ou circulant dans les rails - c'est la même..), par exemple : au démarrageYanShe a écrit :! Les moins chers délivrent du redressé 1/2 alternance, qui fait comme une pulsation, la gamme moyenne du double alternance, assez près du redressé mais pas complétement et les plus sophistiqués (fleischmann par exemple) du courant pulsé aux basses vitesses, exactement comme le décodeur. La seule différence (de taille, je te l'accorde) c'est la fréquence de pulsation qui est beaucoup plus élevée dans les décodeurs modernes.
.
booster
...en outre , je ne suis ni mécanicien , ni élecronicien , ni informaticien , cependant ,
...j'en sais peu mais suffisamment pour dire qu'une majorité de modèles ont un système d'animation conçu en dépit du bon sens , des mécaniques au rendement très faible , faites de bric et de broc , une insulte aux lois élémentaires de la mécanique....pourtant ça marche - à peu près - , du moins la plupart des modélistes s'en contentent .
Je pense - en autres choses - à la présence de volants d'inertie sur l'arbre moteur , parfois largement surdimensionnés . On doit leur présence aux réseaux analogiques . Sous régulation numérique ces volants sont une plaie qui limite les possibilités de réglage des temporisation " électronique". Les fabricants , hélas , ne veulent pas se casser la tête et continuent de proposer un agencement unique
...j'en sais peu mais suffisamment pour dire qu'une majorité de modèles ont un système d'animation conçu en dépit du bon sens , des mécaniques au rendement très faible , faites de bric et de broc , une insulte aux lois élémentaires de la mécanique....pourtant ça marche - à peu près - , du moins la plupart des modélistes s'en contentent .
Je pense - en autres choses - à la présence de volants d'inertie sur l'arbre moteur , parfois largement surdimensionnés . On doit leur présence aux réseaux analogiques . Sous régulation numérique ces volants sont une plaie qui limite les possibilités de réglage des temporisation " électronique". Les fabricants , hélas , ne veulent pas se casser la tête et continuent de proposer un agencement unique